Titre : | Le robot, meilleur ami de l'homme ? | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Rodolphe Gelin, Auteur | Editeur : | Bruxelles : Le Pommier | Année de publication : | 2015 | Importance : | 127 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7465-0883-5 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | robot
| Index. décimale : | 620 Types de technologies - matériaux - énergie | Résumé : | Quand le mot «robot» a été créé, dans les années 1920, il désignait un esclave mécanique que l'on découvrait dans une pièce de théâtre de l'auteur tchèque Karel Capek. Le mot est dérivé du mot tchèque qui signifie «travail». Cette pièce de science-fiction présentait les risques d'une société mécanisée à outrance dans laquelle la créature se retournait contre son créateur. Dès la création du mot, tout avait été dit sur la question en somme.
Mais avant que le mot existe, le concept de la machine remplaçant l'homme était déjà de l'histoire ancienne. Dès le XVIIe siècle on ne compte plus les boîtes à musique sophistiquées et les automates imitant les gestes humains dans des tâches plus ou moins complexes, comme faire quelques pas de danse ou jouer d'un instrument de musique. À ce sujet, on voit que dès cette époque, les inventeurs de ces machines pressentaient une question qui divise aujourd'hui encore la communauté roboticienne : pour jouer de la musique, faut-il un pantin qui essaye d'activer un véritable instrument de musique ou faut-il un instrument de musique qui joue tout seul, comme ces bons vieux pianos mécaniques des westerns ? Les ancêtres de la robotique ont eu une autre prémonition : l'automate serait convaincant s'il reproduisait l'apparence physique de l'homme mais il le serait encore plus s'il était capable des mêmes prouesses intellectuelles. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. |
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