| Résumé : | Dérèglement climatique, perte de biodiversité, pollutions… Nous sommes de plus en plus nombreux et nombreuses à être conscient·es de la crise écologique et à prendre la mesure de sa gravité. Soit parce que nous sommes informé·es, soit parce que nous sommes ou nous sentons directement touché·es. Cette prise de conscience peut s’avérer bouleversante. Colère, tristesse, culpabilité, impuissance, éco-anxiété... Les études le montrent : aucune génération, aucun milieu social, aucun endroit du monde n’est épargné par les éco-émotions, qui finissent tôt ou tard par s’inviter à la maison. Deux bonnes nouvelles toutefois. La première, c’est que lorsqu’elles ne nous paralysent pas, ces émotions peuvent être transformées en force d’action. La seconde, c’est que cette action (découvrir d’autres manières de consommer et de voyager, se reconnecter à la nature, s’engager collectivement…) est à son tour source d’émotions, positives cette fois, comme la fierté, l’enthousiasme ou la joie. Et si on retroussait nos manches pour cultiver un peu d’« écoptimisme » en famille ? |
Ajouter le résultat dans votre panierLes familles face aux éco-émotions / Valentin de Muylder in Le ligueur : l'hebdomadaire du quotidien des familles, 3 (mars 2024)
